La Communication Non Violente nous enseigne un canal de communication à la portée de tous, pour quitter nos enfermements et nous réinventer dans la bienveillance et la clairvoyance de nous-même et de l’autre. Cet autre qui nous semble parfois si étranger. Cette part de nous-même qui nous semble parfois si incomprise. Faire tomber les clivages et les peurs illusoires dans lesquels la société et notre éducation nous ont façonné, modelé pour nous restreindre à tenir la place qu’elles nous ont amenée à choisir. Cette place parfois si éloignée de notre « moi » profond et de notre élan de cœur. 

 

La Communication Non Violente nous apprend comment prendre conscience de qui nous sommes vraiment à notre état brut, sans artifice, avec respect et amour. 

 

Sentir vibrer nos émotions. 

 

Disséquer nos besoins fondamentaux. 

 

Écouter les élans de vie qui nous habitent. 

 

Nous connaître en vérité pour mieux accueillir l’autre.

 

Nous relier à nous-mêmes pour mieux nous relier à l’autre. 

 

La Communication non Violente se dessine comme la synapse de nos relations aux autres, pleine de vie, à la fois apaisée et apaisante. Un élan du cœur comme baume pour soulager et guérir les relations humaines souvent enrouées, grippées. Un onguent aux vertus thérapeutiques, à l’odeur de paix. Une énergie vivifiante..

 

Et si, de cette énergie réparatrice et créatrice, la relation à l’autre devenait une ode à la vie et au dialogue dans le respect de l’écologie de chacun. 

 

Observer avec empathie ceux qui nous entourent. 

 

Apprécier l’instant sans reproches ni critiques. 

 

Plonger dans nos profondeurs sans jugement. 

 

Nommer à haute voix nos émotions sans rougir.

 

Ecouter celles de l’autre. 

 

Clarifier nos besoins respectifs. 

 

Savoir demander sans gêne ce qui contribue à notre bien-être.

 

Apprivoiser nos peurs limitantes. 

 

Rendre muets nos préjugés et nos fausses croyances. 

 

Avoir le courage d’être soi-même. 

 

Donner du sens à sa vie. 

 

Ne pas être là où nous pensons être attendus.

 

Et si c’était ça la liberté ? La vraie ? Celle d’être soi en pleine conscience, dans la gratitude et le respect de soi-même et de l’autre.